covid-19 | Update on INSEAD Alumni Activities

Chère Alumna, Cher Alumnus,

Nous espérons que vous allez tous bien.

Alors que nous nous organisons pour faire face aux impacts du covid-19, nous avons été grandement inspirés par la richesse du soutien de la communauté INSEAD.

Que vous cherchiez à vous informer, à aider, à rester connecter avec la communauté, trouver l’événement en ligne que vous cherchez, l’Association a créé trois volets en réponse au covid-19.

STAY INFORMED

  • Le Comité Executif de l’INSEAD a créé un groupe de travail. Leurs rencontres régulières permettent de monitorer la situation et d’engager les actions nécessaires avec comme priorité la santé et la sécurité. Notre Association est en contact régulier avec notre école.
  • L’INSEAD offre une série de webinars: “Navigating the Turbulence of COVID-19” pour une meilleure compréhension des problématiques clés de la crise que nous traversons.
  • Retrouvez les derniers articles de la faculté sur INSEAD Knowledge – le portail des experts de l’INSEAD.
  • L’Association vous informera toutes les deux semaines par email mais vous pouvez également retrouver toutes nos actualités sur notre site internet : inseadalumni.fr.
  • Un groupe de réflexion sur « l’après corona virus » a été lancé à l’Association. Si vous souhaitez contribuer, merci de nous envoyer un email.

STAY CONNECTED

  • Nos événements sont désormais tous en ligne. Une vingtaine de conférences/ ateliers est prévue sur avril et mai. Retrouvez la liste ici : http://inseadaaf.eventbrite.com/.
  • De nouveaux événements, ateliers et vidéos sont en préparation. Merci à tous nos responsables de club, nos intervenants carrière et notre groupe de travail Business & Society.
  • Les initiatives locales des Alumni régions s’accélèrent et nous accueillons de plus en plus d’Alumni sur nos événements en remote. Plus d’informations sur les régions.
  • Les équipes de l’Association restent à votre disposition du lundi au vendredi de 9h30 à 18h00 au 01 42 12 09 01 ou [email protected].
  • Pensez à rejoindre nos groupes sur les réseaux sociaux : Facebook et Linkedin.

STAND TOGETHER

  • La Solidarité est au coeur de nos préoccupations. Que vous soyez entrepreneur, manager, et en recherche de conseils carrière, nos permanences Carrière et Entrepreneurs sont à votre disposition. Contactez Giuliana.
  • Nous avons observé beaucoup d’initiatives parmi vous. N’hésitez pas à les partager avec nous : [email protected].
  • Un programme de mentoring Alumni est en cours. Si vous souhaitez le rejoindre, prenez contact avec Giuliana.
  • Si vous souhaitez soutenir l’association, la cotisation 2020 reste accessible et nous en avons besoin pour préparer le futur : https://my.insead.edu/membership/.

Et de la part de toute l’équipe INSEAD Alumni Association France, nous vous envoyons toute notre affection

STAY SAFE!

Dear Alumna, Dear Alumnus,

We hope this email finds you healthy.

While we are all adapting our life to face the covid-19 crisis impacts, we have been inspired by the outstanding support coming from the INSEAD Alumni community.

Whether you want to be informed, stay connected to your fellow Alumni, find the event you want to join, we have created a threefold response to the covid-19 crisis: 

STAY INFORMED

  • The INSEAD Executive Committee has established a cross-departmental working group that meets regularly, monitors the situation and takes action with health and safety as a top priority. The Association is in regular contact with the School.
  • Join the INSEAD webinar series “Navigating the Turbulence of COVID-19” for a deeper understanding of key issues surrounding pandemic control and current countermeasures around the world.
  • Find all the Insights from the INSEAD Faculty on INSEAD Knowledge – the expert opinion and management insights portal of INSEAD.
  • The Association will update you every 2 weeks by email but you can also find all of the information regarding our response to covid-19 here on our website: inseadalumni.fr.
  • An “after covid-19” think tank has been created by a group of Alumni at the association. We welcome everyone to join the discussion for a more sustainable and secure future. >> learn more

STAY CONNECTED

  • Our remote events are on track via ZOOM. More the 20 events to come. Find the entire list here http://inseadaaf.eventbrite.com/.
  • We are still working on new remote events, workshops and videos with our Club and Career leaders as well as with our Business & Society Center of Expertise. Thank you all.
  • More and more local events are created while a lot of Alumni in our regions join our remote events. More details of our regions activities.
  • The Association remains available from Monday to Friday (9:30 – 18:00). Phone: +33142120901 email: [email protected].
  • You can engage the conversation on our Social Media private Groups: Facebook and Linkedin.

STAND TOGETHER

  • Solidarity is another top priority for us. You can book a remote one to one session with one of our coach or expert whether you are an entrepreneur, a manager and looking for career advice. Please contact Giuliana.
  • We saw a lot of initiatives from your side, please reach out to us if you want to get involved with the association or if there is an initiative you want to share with the Alumni community: [email protected].
  • An INSEAD Alumni mentoring program is up and running. If you want to join the program, please reach out to Giuliana.

And from the whole INSEAD Alumni Association France team, we send you tons of love

STAY SAFE!

⚠️ covid-19 | INSEAD Alumni activities

English Version below

Chère Alumna, Cher Alumnus,

Dans le contexte de propagation du covid-19, nous avons à cœur de protéger la communauté INSEAD, nos équipes et bénévoles tout en maintenant notre niveau de services pour vous.

Après discussion avec notre Executive Committee et pour permettre à notre communauté de maintenir le lien durant cette période, nous sommes heureux de pouvoir mettre en place le « remote » de nos activités.

Nous digitalisons la plupart de nos événements. Nos activités sont déjà disponibles en ligne via Zoom. Cela vous permettra à tous de continuer à suivre nos conférences et ateliers où que vous soyez avec votre mobile ou votre ordinateur.
Ces événements en ligne seront entièrement gratuits et accessibles avec un lien que nous vous enverrons par e-mail après votre inscription. Le programme des événements vous sera envoyé par mail et le processus d’inscription via Eventbrite ne change pas. L’Association reste également disponible pour des échanges en one to one, nous vous ferons parvenir les modalités d’inscription dans les jours qui viennent.

Nous communiquerons également tous les événements via nos pages officielles Facebook et LinkedIn.

Nous vous rappelons que deux groupes privés INSEAD Alumni Association France existent et rassemblent plus de 1000 Alumni. N’hésitez pas à rejoindre ces groupes et à engager la conversation, tous les Alumni peuvent y participer : Groupe Facebook | Groupe Linkedin

Comme vous l’imaginez, le bureau de l’INSEAD Alumni Association France est fermé. Les réunions et la réservation de salle dans les locaux de l’association habituellement mis à disposition de nos membres, suspendus.

Les équipes de l’INSEAD Alumni Association France restent néanmoins à votre disposition par téléphone : 01 42 12 09 01 et/ ou par mail [email protected] aux horaires habituels (9h00 – 18h00). Nous serons heureux de vous répondre. N’hésitez pas à décrocher votre téléphone, nous serons toujours contents de vous entendre.

Prenez soin de vous et de vos proches et restez chez vous !

Amitiés,
Thomas Bittner MBA’75
Président
INSEAD Alumni Association France


Dear Alumna, Dear Alumnus,

Due to the current covid-19 pandemic, we are committed to protect our community, our staff and our volunteers while staying in touch with each other.

Following a meeting with our Executive committee focused on keeping the connection between the alumni, we are happy to launch a new digital alumni association.

Most of our events will be held online, some of them are already available via Zoom. It will allow all of us to follow our conferences and workshops wherever you are with your laptop or your smartphone.
The online events are free of charge and we will give you access with a link sent by email right after you register.
The upcoming events will be sent by email and the registration process remains through Eventbrite. The IAAF team also remains available for one to one meetings. All of the details will be sent to you very soon.

We will also use our official social media pages to inform you: Facebook and LinkedIn.
Feel free to comment, share and send us private messages.

We also remind you that you can join our two IAAF private groups: Facebook Group | LinkedIn Group. We are already more than 1000 Alumni. All of you can participate and start a conversation.

The IAAF office is of course closed. Our team works from home and we are at your disposal from 9:00 to 18:00 from Monday to Friday, by phone +33 1 42 12 09 01 and/ or email [email protected]
We will be glad to talk to you and answer your questions or just have a conversation with you.

Take good care of yourself and of your close ones.

Amitiés
Thomas Bittner MBA’75
President
INSEAD Alumni Association France

BUSINESS À IMPACT – COMMENT LE FINANCER ?

Par Sophie Boyer Chammard (MBA’97D)

Le 25 février dernier, l’INSEAD Alumni Association France (IAAF) organisaient un débat sur le thème « Business à impact : Comment le financer ?» en partenariat avec le Forum de l’Innovation Technologique et de la Transformation (FITT France). Cet événement s’inscrivait dans le cadre des projets Business & Society de l’IAAF.

Les intervenants invités étaient :

  • Christian Lim, Founding Partner, Blue Oceans Partners
  • Clémence de Rothiacob, gérant du fonds Richelieu CityZen, Richelieu Gestion
  • Antoine Sire, Director of Company Engagement & Member of the Board, BNP Paribas
  • Prof. Hans H. Wahl, Director of the INSEAD Social Entrepreneurship Initiative, INSEAD

D’après l’étude du GIIN (Global Impact Investing Network), l’impact investing représente à ce jour 502 millions $. C’est encore peu, mais les efforts de chacun, décrits par nos intervenants, sont encourageants.

Les trois défis de l’investissement à impact : évaluation, standardisation, passage à l’échelle

Le Prof. Hans H. Wahl a ouvert les débats en rappelant qu’il existe quatre types d’investissements :

  • L’investissement traditionnel,
  • L’investissement responsable, économique, social et environnemental
  • L’investissement basé sur des valeurs
  • L’impact investing, ou investissement dans des entreprises à impact positif

Selon lui, l’investissement dans une entreprise à impact positif soulève trois questions :

  • L’évaluation de l’investissement: Nous sommes performants dans la mesure où nous pouvons mesurer cette performance, or il est difficile de mesurer la performance non financière ; comment évaluer les sociétés en fonction de leur bénéfice social et environnemental ?
  • La standardisation des indicateurs de performance : Comment savoir ce qu’est un « bon investissement », et avoir des unités de mesure objectives et partagées par tous, comme les normes comptables sont un instrument de mesure des performances financières ?
  • Le passage à l’échelle: comment les initiatives de certains, qui se multiplient, peuvent-elles devenir la norme pour tout le monde ? Si l’on constate une réelle prise de conscience quant au besoin de transition vers des activités à impact positif, cette transition est-elle assez rapide et généralisée ?

Les dix-sept objectifs de développement durable (ODD) de l’Organisation des Nations Unies sont la référence commune pour tous les acteurs (gouvernements, entreprises, ONG, Fondations, citoyens, …). Le Prof. Hans H. Wahl a rappelé « (que) pour ce qui concerne l’investisseur, sa propre activité, comme celle des entreprises dans lesquelles il investit, se doit d’être pérenne et rentable, à la fois du point de vue économique comme du point de vue social, sociétal et environnemental ».

Comment respecter cet objectif d’impact positif pour un financeur ?

Prof. Hans H. Wahl, Clémence de Rothiacob

Clémence de Rothiacob a expliqué que Richelieu Gestion, qui investit dans les actions d’entreprises cotées, exclut les énergies fossiles et le tabac. « Nous favorisons aussi la transition en valorisant les efforts d’amélioration de l’entreprise pour améliorer son impact » a-t-elle précisé.

Christian Lim a présenté Blue Oceans Partners en disant « nous mobilisons les capitaux privés pour régénérer la santé des océans et atteindre l’ODD 14, en investissant notamment dans les innovations aidant à résoudre les problèmes de la surpêche et dla pollution par le plastique. Nous avons à la fois un un objectif d’impact systémique et de retour sur investissement de marché compétitif. Pour évaluer l’impact des innovations, nous avons mis en place une gouvernance qui comporte un comité d’impact qui a un droit de véto sur les investissements et est composé de spécialistes indépendants».

BNP Paribas, a indiqué Antoine Sire, est engagé dans une transformation et recherche dorénavant l’impact dans toutes leurs activités, notamment sur les sujets de transition climatique, biodiversité, montée des inégalités et rééquilibres territoriaux. D’après lui « Cela demande un modèle différent intégrant des indicateurs différents. C’est une transformation qu’aucune entreprise ne peut faire seule ». Avec pour boussole, les 17 Objectifs de Développement Durable, BNP Paribas a construit une méthodologie avec Vigeo Eiris et a engagé ses cadres dirigeants dans un programme de formations de grande ampleur.

En termes de mesure de performance, BNP Paribas s’est fixé des objectifs de transformation en fonction des ODD :

  • Les objectifs de financement des énergies renouvelables, par exemple, ont été dépassés (1er Européen et 3ème mondial).
  • BNP Paribas veut être une grande banque de l’économie sociale et solidaire. Elle a créé des processus de risque spécifiques, formé des spécialistes de l’ESS (l’ESS représente 10% du PIB français). Là encore les objectifs fixés ont été dépassés.
  • Une logique d’exclusion sur certains secteurs, soit immédiatement (fracturation hydraulique, schiste, énergies issues de sables bitumineux), soit en accompagnant la transition et les programmes de développement alternatifs. BNP Paribas sort progressivement des sociétés d’énergies qui développement des capacités additionnelles au charbon.

Néanmoins Antoine Sire rappelle « (que) ceci reste empirique : Comment créer des échelles plus larges pour s’aligner avec les objectifs de Paris ? Toute transformation (toute révolution, puisqu’on parle des défis inhabituels sur la survie de la planète et la capacité de notre monde à être tolérable) induit ses propres indicateurs ; quels sont les indicateurs que l’on va inventer pour accompagner cette transition ? ».

Standardisation des indicateurs de performance

Dans son exposé, le Prof. Hans H. Wahl a indiqué que des indicateurs de mesure ont été développés pour certains secteurs. Plus globalement, deux grands systèmes semblent se développer :

  • Le système européen, avec une approche plus structurée et réglementaire
  • Le système américain, comme le système présenté au ChangeNOW Summit à Paris en janvier : Global Impact Investing Network (GIIN).

« Il y a beaucoup d’initiatives proposant des normes/standards. La communauté des investisseurs joue un rôle important pour la prise en compte de l’impact dans les critères d’investissements. Citons l’exemple de BlackRock dont le CEO Larry Fink a déclaré: « Profits with a purpose are vital for survivability and profitability » et dont les propos annoncent une réelle tendance de marché » a-t-il précisé.

Pour Christian Lim, l’évaluation purement quantitative est difficile : « Il y a des éléments que l’on peut mesurer de façon quantitative, comme l’émission de gaz à effet de serre. Mais beaucoup d’éléments sont qualitatifs et plus difficiles à évaluer ou standardiser, comme l’impact sur la biodiversité. En plus, il faut consolider les impacts positifs et négatifs et analyser le résultat global du projet, tout au long de la chaîne de valeur ».

À ce propos, Clémence de Rothiacob fait un parallèle avec les agences notations de crédit, pour lesquels il y a des indicateurs standardisés et des agences indépendantes de notation (S&P et Moodies). « Pour l’ISR, on peut se faire aider pour la collecte des données mais l’analyse des données reste complexe. La seule base commune et précieuse est le cahier des charges défini dans les Objectifs de Développement Durable ».  Pour avoir le label ISR, il faut expliquer comment on mesure l’impact et le résultat, mais il reste un flou important pour les fonds qui n’ont pas de label. Même si l’AMF (Autorité des Marchés Financiers) encadre davantage, il n’y a pas de standards aujourd’hui.

Côté critères, de plus en plus d’entreprises montrent l’impact positif qu’elles peuvent générer. Elles ont besoin de communiquer sur l’impact positif pour obtenir des financements. Ainsi Danone a publié ses 169 cibles qui prennent en compte les trois aspects du développement durable et s’articulent autour des 17 objectifs de développement durable.

Antoine Sire fait néanmoins remarquer « (qu’) il y a deux sortes d’entreprises : les entreprises « très green » dont le cœur de l’activité est à impact positif et les entreprises très « brown » (ex : charbon) ». Entre les deux il y a une multitude d’entreprises dont il faut accompagner la transition.

Parmi les initiatives de BNP Paribas, citons l’émission de « sustainability linked loans », dont le prêt est lié à l’atteinte par les entreprises d’un certain nombre d’ODD. Elle a ainsi prêté à Solvay, chimiste qui s’est engagé à réduire l’ensemble de ses émissions de gaz à effet de serre. A son sens, ce qu’il faut mesurer ce sont les efforts vers une transition et l’évolution. Il faut rendre traçable tout ce que l’entreprise fait, quelle que soit l’entreprise, tout comme les normes comptables IFRS rendent traçables les résultats financiers, quelle que soit l’entreprise. Il faut tout documenter et trouver un mélange de bons critères qui permettent apprécier l’impact total de l’entreprise et sa contribution aux accords de Paris. Par exemple, la méthodologie PACTA (Paris Agreement Capital Transition Assessment) permet d’évaluer l’efficacité énergétique, mais il faut aussi prendre en compte l’impact social des évolutions.

Ainsi BNP Paribas met en place de nouveaux instruments répondant à des logiques nouvelles : par exemple le « contrat à impact social » : La collectivité indemnise un sujet d’intérêt général, comme le chômage. Dans ce dispositif, une association – en l’occurrence l’Adie, apporte de l’aide aux chômeurs pour créer leur emploi, et contribue à la baisse de l’indemnisation chômage. L’investisseur, aide l’Adie à augmenter son impact. La collectivité rembourse l’investisseur si l’action de l’association est efficace. Le remboursement du prêt est indexé sur la performance sociale. Reste la question du passage à grande échelle de ce type d’actions.

Antoine Sire est pragmatique : « Il faut créer un outil de mesure et voir si on peut généraliser ces actions. En l’espèce, on fait décoller l’avion avant d’avoir fini de le construire… ».

Passage à grande échelle

Selon le Prof. Hans H. Wahl, « la question du rôle du secteur public pour accélérer la transition est posée. La mise en place des Objectifs de Développement Durable par les Nations Unies est une étape importante et très utile. Une vraie dynamique est maintenant en place. Du côté des entreprises aussi ». Mais il rappelle que l’essentiel est une collaboration entre les pouvoirs publics et les entreprises. On trouve des exemples de collaboration efficace à Singapour, au Canada, en France, et en Allemagne. Des initiatives pour mesurer l’impact commencent à voir le jour et devront permettre mesure et passage à l’échelle.

L’INSEAD Social Entrepreneurship Programme (ISEP) travaille sur de nombreux projet, dont l’un qui a rassemblé un écosystème de parties prenantes (stakeholders) en impliquant une startup innovante, des académiques, une grande entreprise pour permettre le passage à l’échelle, le gouvernement pour donner un cadre de réglementation, et des consommateurs. L’ISEP organise aussi le « Tommy Hilfiger Social Innovation Challenge » qui a pour objectif de rechercher des améliorations environnementales dans la chaine de valeur, mais aussi des améliorations sociales, comme par exemple, sur les vies des individus producteurs tout en bas de la chaine de valeur mais « le projet doit aussi apporter des revenus financiers pour être viable ».

Christian Lim, Antoine Sire

Pour Blue Oceans Partners, les fondamentaux sont là pour que la plateforme d’investissement de Blue Oceans Partners se développe à grande échelle. Ceci inclue entre autre une abondance de pipeline de qualité, et une demande massive des grandes entreprises pour les innovations qu’elles apportent. Le défi pour Christian Lim est celui auquel font face les first time funds.

Le système veut des stratégies d’investissement déjà démontrées avant d’investir, or nous avons besoin de nouvelles stratégies pour répondre aux nouveaux défis de notre monde, et naturellement elles n’ont pas le track record exigé. Selon lui, nous n’avons pas le temps d’attendre que les standards se mettent en place pour réaliser la transition écologique. Ce changement rapide implique qu’on travaille dans l’innovation, avec de nouvelles stratégies à mettre en place immédiatement. « Les parcours pour les nouveaux fonds devraient être plus faciles ! ».

« L’objectif du fonds Richelieu CityZen est de donner accès au plus grand nombre à des produits à impact. Comme les FCPR, ces produits restent plus risqués car ce sont des placements à plus long terme, qui s’adressent donc à des investisseurs avertis » a indiqué Clémence de Rothiacob. Selon elle l’impact investing reste confidentiel et prendra du temps à se généraliser, mais a vocation à se démocratiser. La révolution a commencé et vient des investisseurs qui sont en demande. Les entreprises se mettent au pas. L’enjeu est une meilleure valorisation en bourse de l’entreprise à impact, qui nécessite de lui donner les moyens de développer l’entreprise et l’impact. Les sociétés de private equity ont un rôle à jouer, et montreront l’exemple aux société cotées. Chaque échelon est important pour développer cet effet d’échelle.

Antoine Sire donne trois exemples de sujets où il faut changer de logiciel pour passer à l’échelle :

  • Penser à l’épargne: Les épargnants sont aussi en demande que leur épargne soit investie dans des projets à impact. La Banque Privée de BNP Paribas propose une offre « MyImpact » pour l’investisseur responsable. Elle interroge l’épargnant sur le type d’impact qu’il souhaite avoir en fonction des ODD. L’impact devient un élément de choix fondamental de l’investissement (no risk no return – il faut pouvoir choisir le niveau de risque et d’impact). Le choix doit repos er sur des impacts réels avec une grille de critères.
  • Développer la coopération entre les acteurs privés, publics, et les ONG et les autres parties prenantes. C’est ce qu’on appelle le financement mixte ou « blended finance», pour financer un problème de bien public. Toutes les parties se mettent autour de la table. Par exemple le « tropical landscape facility » accordé par BNP Paribas, pour financer une plantation de caoutchouc durable destiné aux pneus Michelin, avec WWF et le gouvernement indonésien.
  • Prendre le problème par tous les angles. BNP Paribas a lancé ClimateSeed, une plateforme de compensation carbone, proposant une méthodologie pour aider les compagnies aériennes à réduire de 5% leur utilisation de kérosène. Le projet est sans but lucratif et avec l’appui du lauréat du Prix Nobel de la Paix, le Professeur Muhammad Yunus.

Des objectifs d’impact ambitieux mais une réelle dynamique des acteurs économiques

Dans sa conclusion, le Prof. Hans. Wahl a rappelé que nous assistons à un changement profond de la pensée à court terme vers le long terme, tant dans la stratégie commerciale et les opérations que chez les investisseurs qui les financent. Cela a été mené et est particulièrement visible dans le comportement des fonds de pension et des particuliers fortunés et des « family offices » et se déplace progressivement vers les grandes banques et les sociétés d’investissement.

L’apprentissage est un élément clé de la transition d’impact dont nous avons discuté ici aujourd’hui. Cela est vrai pour les innovateurs et les entrepreneurs qui ont besoin d’un grand soutien pour rendre les solutions qu’ils génèrent investissables et leurs start-ups investissables. Cependant, cela est également vrai pour les investisseurs et les grandes entreprises qui ont un besoin urgent de créer de nouvelles approches en matière d’évaluation et de risque qui dépassent la perspective étroite de maximiser le rendement financier.

Enfin, bien que nous accordions une grande attention aux grands marchés d’Amérique du Nord, d’Europe et de Chine, nous ne devons pas négliger certains des changements profonds qui se produisent dans certains des marchés émergents à croissance rapide d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine. Cela inclut

  • L’obligation dans plusieurs grands pays d’Asie d’allouer un pourcentage des revenus des entreprises à l’impact social ;
  • L’interdiction des emballages en plastique dans de nombreux pays d’Afrique (et bientôt, interdiction de tous les plastiques à usage unique au Kenya) ;
  • La fourniture de soins de santé et de logements sûrs dans de nombreux pays d’Amérique latine et d’Afrique.

Le Prof. Hans H. Wahl a terminé en disant « Bien que ceux-ci aient pu être considérés comme ambitieux il y a une décennie ou deux, ce sont maintenant des efforts très significatifs qui sont réalisés afin que les entreprises soient vraiment une force pour le bien ».

 

BREAKING NEWS | THE INSEAD ALUMNI ANGELS HIT THE MILLION

The INSEAD Alumni Association France is happy and proud to share that our INSEAD Alumni Business Angels Club (INSEAD BAC) invested in 8 startups for 1,226€ Millions in 2019.

This Club has been created in 2012 by Guillaume Loth Demay. Since then our green or experimented Alumni Business Angels can enjoy the international scope of the startups, the business closeness that drives the investment decisions and the diversity of the INSEAD BA members.

The INSEAD BAC has organized 36 pitch sessions, has welcomed more than 180 startups and has invested in 40 startups in 7 years.

Entrepreneurship as diversity is part of the INSEAD DNA and forms one of the 5 INSEAD founding values: “We are willing to experiment and innovate; we are ready to take risks and manage the results of our actions”

We are proud to uphold the tradition of entrepreneurship within the INSEAD Alumni community in France through our INSEAD Alumni Business Angels Club France and the other activities of our Entrepreneurship Center of Excellence.

We would like to warmly thank Guillaume but also Jacques Baudier, Valérie Coscas and Patrick Giry-Deloison who run the club.

You will find below the list of the 8 startup the INSEAD Alumni Business Angels invested in in 2019:

Who’s Who December 2019

All INSEAD alumni on the move in France – October/ November/ December 2019
To be listed, email us at [email protected]



Elina Kousourna, MBA INSEAD 08, a été promue directeur général de De Fursac (SMCP), à ce poste depuis le 19 novembre 2019, en remplacement de Edmond Cohen. Elle est sous la responsabilité directe de Daniel Lalonde, president & chief executive officer de SMCP.
Elina Kousourna, 35 ans, diplômée en marketing et communication – Université Paris-Dauphine (2005), a réalisé le parcours suivant :
* 2018-2019 : SMCP, directeur stratégie et développement.
* 2017-2017 : Groupe SMCP, strategy & corporate communication director.
* 2015-2019 : SMCP, membre du comité exécutif.
* 2015-2017 : Groupe SMCP, business & retail performance manager.
* 2009-2015 : The Boston Consulting Group, principal au sein de l’équipe Consumer & Retail.
* 2004-2007 : L’Oréal, product manager (en Grèce).



Patrick Baudry, MBA INSEAD 09,a été nommé directeur des opérations de CapCar, à ce poste depuis juillet 2019. Cette nomination intervient dans le cadre du changement d’identité de la société (nom et logo). En parallèle, l’entreprise prépare sa 2ème levée de fonds auprès de fonds d’investissement parisiens, qui servira à accélérer le développement national et à recruter des profils techniques, développeurs et marketeurs.
Patrick Baudry, MBA – INSEAD (2009), MEng quantitative finance – ECE (2005), a réalisé le parcours suivant :
* 2012-2019 : Jumia, chief executive officer Algérie et cofondateur.



Pascal Prigent, MBA INSEAD 95, est promu directeur général de Genfit, à ce poste depuis septembre 2019. Membre du comité exécutif, il succède à Jean-François Mouney, qui conserve son poste de président du conseil d’administration.
Pascal Prigent, DESCAF – NEOMA (1989), a réalisé le parcours suivant :
* 2018-2019 : Genfit, vice-président exécutif marketing et développement commercial, directeur du bureau de Paris.
* 2014-2017 : GlaxoSmithKline Group, vice president marketing, division Vaccins Etats-Unis.
* 2011-2014 : GlaxoSmithKline Group, vice president, general manager Romania.
* 2009-2011 : Eli Lilly Group, business unit director SNC & Cardio France.



Maxime Perrin, MBA INSEAD 05, a été nommé managing director Telecom industry group monde de Natixis, à ce poste depuis août 2019. Il est sous la responsabilité directe d’Anne-Christine Champion, responsable mondial de Real Assets au sein de la Banque de grande clientèle.
Maxime Perrin, Télécom ParisTech (1998), a réalisé le parcours suivant :
* 2018-2019 : ING Wholesale Banking France, directeur de l’activité M&A.
* 2015-2017 : BNP Paribas, TMT & Energy lead.
* 2007-2015 : BNP Paribas, director, Media & Telecom Investment Banking.
* 2006-2007 : Arma Partners, associate, Technology Investment Banking.
* 1998-2004 : Devoteam Management Consulting, project director.


Pascal Rialland, TIEMBA INSEAD 09Jan, est promu directeur général de Balyo, à compter de janvier 2020, en remplacement de Fabien Bardinet. Il est ainsi en charge de l’accélération commerciale des solutions et de l’excellence opérationnelle. Sa nomination fait suite à son implication dans la direction stratégique et opérationnelle depuis l’introduction en bourse de l’entreprise. 
Pascal Rialland, 44 ans, Tsinghua University (2009), master ingénierie industriel et alimentaire – INP Toulouse (1998), a réalisé le parcours suivant :
* 2019-2019 : Balyo, directeur général délégué.
* 2017-2019 : Balyo, directeur général adjoint.
* 2015-2017 : Balyo, directeur marketing EMEA.
* 2013-2015 : EK Automation, regional manager France, Espagne et Benelux.
* 2011-2012 : HomeSun, director of operational transformation.
* 2009-2011 : PepsiCo France, program manager et consultant.
* 2009-2009 : Groupe Altran, directeur régional en Chine.


Grégoire Baudry, MBA INSEAD 98, associé au sein du bureau de Paris, est promu directeur du pôle Distribution de Bain & Company France, à ce poste depuis novembre 2019. Il est sous la responsabilité directe d’Ada Di Marzo, associé, directeur général du bureau de Paris. Il est ainsi en charge des problématiques Technologies, Data, Innovation pour le pôle en Europe.
Grégoire Baudry, 49 ans, Mines ParisTech (1990), a réalisé le parcours suivant :
* 2010-2019 : Bain & Company France, associé au sein du pôle Distribution et Grande Consommation.
* 2008-2010 : Bain & Company, partner au sein du pôle Consumer Goods & Retail North America.
* 2007-2008 : Bain & Company France, partner au sein du pôle Distribution.
* 2005-2007 : Bain & Company France, senior manager.
* 2003-2005 : AT Kearney France, directeur.


Benoît Trochet, YMP INSEAD 05, est nommé directeur administratif et financier de C&A France, à ce poste depuis septembre 2019. Il est sous la responsabilité directe de Damien Defforey, directeur général. Il est ainsi en charge de plusieurs responsabilités relatives à la gestion (contrôle de gestion, supervision comptable, gestion) et au management des fonctions supports tels que le service juridique, les systèmes d’information, la supply chain ou encore les approvisionnements. 
Benoît Trochet, diplôme de finance – ISG (2000), a réalisé le parcours suivant :
* 2018-2019 : Hanesbrands, directeur financial planning & analysis Europe.
* 2016-2018 : Hanesbrands, directeur financier Europe Ouest et EMEA.
* 2014-2016 : Hanesbrands, directeur du contrôle de gestion pour la région Europe de l’Ouest de Dim.
* 2012-2014 : Hanesbrands, contrôleur financier de Dim.
* 2009-2012 : Hanesbrands, responsable du contrôle de gestion en France de Dim.


Blaise Vignon, MBA INSEAD 06, a été nommé head of product d’Oodrive, à ce poste depuis juillet 2019. Il est sous la responsabilité conjointe des cofondateurs, Stanislas de Rémur, chief executive officer et Cédric Mermilliod, chief sales officer. Il est ainsi en charge de la bonne mise en application de stratégie de l’entreprise. Il doit fournir une plateforme capable de garantir à ses clients la confidentialité des données sur 4 volets : la collaboration, la signature, l’identité et la sauvegarde. Il encadre une équipe de product managers en charge de la mise en place de la roadmap pour chacune des 4 gammes et des spécialistes UX, responsables des différentes applications.
Blaise Vignon, MS electrical engineering – Université de Stanford (2001), diplôme d’ingénieur – Polytechnique (1997), a réalisé le parcours suivant :
* 2017-2019 : Criteo, product management director.
* 2014-2016 : Criteo, product management lead.
* 2012-2014 : Microsoft France, business development manager Microsoft Azure.
* 2010-2012 : Microsoft France, emerging business lead.
* 2007-2010 : Microsoft France, product manager developer tools.


Nicolas-David Kersen, MBA INSEAD 04, est nommé associé M&A, responsable du secteur FIG au sein des activités Deal Advisory de KPMG France, à ce poste depuis octobre 2019. Il est ainsi chargé de piloter l’ambition des activités de M&A dans le secteur financier au sein du cabinet. Cette nouvelle équipe répondra aux attentes grandissantes des clients, fonds d’investissement et institutions financières, d’une offre plus intégrée et élargie à la fois en termes de services et sur un plan géographique.
Nicolas-David Kersen, CentraleSupélec (diplôme Ecole centrale Paris) (2000), MSc accounting and finance – London School of economics and political science (2000), a réalisé le parcours suivant :
* 2004-2019 : Lazard Frères, associé gérant.



Julien Vincent, MBA INSEAD 10, a été promu associé au sein de la practice Communication, Media & Telecom d’AT Kearney France, à ce poste depuis juillet 2019. Il est notamment chargé de développer une expertise plurielle sur les secteurs Médias et Télécom (enjeux d’infrastructures type fibre, 5G, ou les objets connectés). Son scope axé Stratégie et Transformation Digitale l’amène également à opérer régulièrement sur les problématiques très actuelles de mobilité connectée (ville de demain, plateformes de mobilité, voiture autonome, etc.) en collaboration avec les équipes Transport, Aérospatial, Energie du cabinet.
Julien Vincent, MS electronics & telecommunications – INSA Lyon (2000), a réalisé le parcours suivant :
* 2010-2019 : AT Kearney France, associate to principal.
* 2006-2009 : Orange, manager strategic marketing.

 

2019 ACHIEVEMENTS

We launched our new strategy INSPIRE, GROW and CONNECT in 2011 during a time of uncertainty for our INSEAD Alumni Association France (IAAF). After 8 years of hard work, we are happy to announce that we managed to reverse the current trend of losing membership for the first time since 2011. We have this year 160 more Alumni who joined the members community.

We are also delighted to share with you our major achievements below.
For more details, download our 2019 annual report or see below the presentation

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Our 2019 achievements:

 

📖 COUPLES THAT WORK 📖 by INSEAD professor Jennifer Petriglieri

New book by INSEAD Professor Jennifer Petriglieri explores the triumphs and tensions of dual-career coupledom 


In most developed countries, the dual-earner couple is rapidly becoming the new normal. Forty-six percent of American two-parent households are also dual-income, compared to 31 percent in 1970. In the UK, there are 1.4 million more mothers in the workforce than in 1996. Even in Japan, despite traditional gender roles, married women accounted for about half of total workforce expansion between 2012 and 2017.

However, most career advice is still targeted at sole breadwinners that doesn’t take into account the increasingly complex lives of dual career couples and their relationships. Jennifer Petriglieri, Associate Professor of Organisational Behaviour at INSEAD – and a member of a dual-career couple –launched herself into the research that eventually became the recently released book Couples That Work: How Dual-Career Couples Can Thrive in Love and Work (Penguin and Harvard Business Review Press, 2019).

The book innovatively adapts theories of individual psychological development to intra-couple dynamics, drawing upon extensive ethnographic research involving more than 100 couples. Petriglieri identifies three key life/career transitions common to all couples, which must be successfully negotiated if their partnership is to remain greater than the sum of its parts.

The first transition – from independence to interdependence — occurs when couples encounter their first life-changing event, which could be the arrival of their first child or a big career opportunity. The precipitating event forces them to grapple with the question, “How can we make this work?”

Handling the second transition – mid-life reinvention – requires reexamining past career and personal choices and being ready to take the brave and often painful step of adjusting their relationship to suit newly acquired self-knowledge. The pivotal question of this stage is, “What do we really want?”

The third transition, often brought on by upsetting events in the mature stages of life (such as the death of a parent or kids leaving home), demands that couples reframe perceived losses as opportunities to forge a new path forward together. They must tackle the question, “Who are we now?”

Couples That Work is divided into three parts – one for each transition. Each part covers the events that commonly trigger the pertinent transition, its particular pitfalls, and how couples can not only weather the storm but also emerge from the upheaval even stronger in their connection and careers. Included throughout are highly practical exercises and tools based on Petriglieri’s rigorous research and analysis.

For the book, she conducted exhaustive, semi-structured interviews with a strikingly diverse set of 113 couples. They range in age from 26 to 63, hail from 32 countries on four continents, and encompass both gay and straight identities. In 45 of the couples, neither partner had children. What links them all is both partners’ fierce devotion both to their career (as opposed to a job done mainly for money) and to each other.

Of her interview subjects, Petriglieri says: “Their psychological investment in, and commitment to their work sits alongside their commitment to their relationship. It is this combination of commitments that is the source of the dynamics this book focuses on. It can create tension, conflict and sacrifice, it can also create mutual growth, fulfilment and harmony.”

Who’s now Who – September 2019

All INSEAD alumni on the move in France in September 2019
To be listed, email us at [email protected]


 

Benoît Galland, MBA 91J, a été nommé directeur général de Rapidle, à ce poste depuis avril 2019. Il est ainsi chargé de poursuivre et d’accompagner les développements de la startup face aux différentes transformations alimentaires et modes de consommation. 55 ans, diplôme d’ingénieur – Centrale Paris (1987), a réalisé le parcours suivant :
* 2008-2018 : Akuo Energy, codirecteur général.
* 2005-2008 : Dole Europe, président Europe.
* 2004-2005 : Dole Europe, directeur général Europe.
* 2002-2004 : Dole, directeur général France.
* 1998-2002 : Dole, directeur général Afrique du Sud.
* 1996-1998 : Provifruits, coprésident-directeur général.

Julien Renaud-Perret, MBA 98J, est nommé directeur du développement de Pierre & Vacances Center Parcs, à ce poste depuis septembre 2019. Il est sous la responsabilité directe de Patricia Damerval, directeur général adjoint Groupe. Il est ainsi chargé d’apporter au groupe son expertise internationale dans l’immobilier touristique. A ce titre, il est membre du comité exécutif du groupe.
49 ans, ISG (1990), il a réalisé le parcours suivant :
* 2017-2019 : Paref, directeur du développement.
* 2017-2017 : Fosun Property Holdings, managing director Hospitality Europe.
* 2014-2016 : Aman Resorts, chief development & real estate officer.
* 2010-2014 : Orascom Development, directeur général du développement.
* 2006-2010 : Orascom Development, directeur du développement opérationnel.
* 2004-2006 : Club Méditerranée, directeur du développement et du patrimoine.

Jean-Jacques Lafon, MBA 17J, est nommé directeur de la stratégie, des partenariats et du M&A de Solocal, à ce poste depuis septembre 2019. Il est sous la responsabilité directe de Nathalie Etzenbach-Huguenin, secrétaire général. Il est ainsi chargé d’identifier et d’opérationnaliser les nouveaux relais de croissance et de continuer à développer des partenariats avec les acteurs clefs du digital dans le cadre de la stratégie « full Web ». Il sera également amené à travailler sur les grandes orientations stratégiques de Solocal qui seront déployées à l’issue du projet Solocal 2020 sur la période 2021-2022, et qui seront annoncées début 2020. Par ailleurs, il pilotera le processus d’internationalisation du groupe.
35 ans,  ESSEC Business School (2008), master production process – Centrale Lille (2007), a réalisé le parcours suivant :
* 2017-2019 : Bloomon, directeur général France.
* 2014-2016 : HelloPay, country manager.
* 2013-2014 : Diptyc.ph, chief executive officer et fondateur.
* 2012-2013 : Rocket Internet, global venture development manager.
* 2008-2012 : Lazard Frères, M&A associate.

Luc Poppe, EMBA 04Dec, est nommé managing director, responsable Groupe du secteur Consumer Good & Retail du Groupe CFI, à ce poste depuis juillet 2019.
57 ans, il a réalisé le parcours suivant :
* 2018-2019 : Sentosa Partners, managing partner.
* 2013-2017 : Johnson & Johnson Consumer, responsable développement des fusions et acquisitions.
* 2005-2013 : Johnson & Johnson Consumer, global business development director Skin Care.
* 2001-2003 : Unilever Home & Personal Care Europe, directeur du marketing Europe pour les détergents.
* 1999-2001 : Unilever Home & Personal Care Europe, business operations director Europe.
* 1996-1999 : Unilever Maghreb, directeur marketing et ventes.
* 1993-1995 : Unilever Czech & Slovak Republics, marketing manager home care.
* 1991-1993 : Unilever France, chef de produit.
* 1988-1991 : Unilever France, responsable grands comptes & trade marketing manager.

GLOBAL INSEAD DAY 2019

In the 2019/2020 academic year, INSEAD, the business school for the world and your Association are celebrating the 60th Anniversary of the INSEAD opening on 12 September 2019. Founded by Georges Doriot, Claude Janssen and Olivier Giscard d’Estaing. INSEAD brought business education using the case method to Europe. The school they established is to this day a diverse and entrepreneurial institution that promotes prosperity and peace around the world.

As a start of the celebration, the INSEAD Alumni Association France hosted a party on September 12 at le Bal de la Marine, a boat just under the Eiffel Tower. 200 alumni joined us. Thank you for being with us!

We were honored to welcome Olivier Giscard d’Estaing who shared with us the vision he had when creating INSEAD, Jean-Marie d’Arjuzon, Alain Demaizière and Guy Escudier, MBA 60 who shared with us their Experience back then. Ilian Mihov, our dean introduced the vision for INSEAD in the coming years.

We are looking forward to keep celebrating the 60th anniversary of INSEAD.